LGBTQIA+, ça veut dire quoi ?

De toutes les lettres de l’acronyme LGBTQ, le L, pour lesbianisme, fut le premier à voir le jour.

Toustes en Colo est une association engagée pour le droit aux vacances et au repos pour chacun·e et pour toustes. Elle organise des colonies de vacances inclusives et éco-responsables tous les étés, ainsi que ponctuellement au cours de l’année.

Situé à Paris, la Bulle est un espace dédié à l’entraide et au soutien des personnes LGBTQIA+ les plus stigmatisées.

Réalisée par Meg-John Barker et Julia Scheele, cette bande dessinée non fictionnelle explore l’histoire et la théorie queer à travers une présentation visuelle accessible.

Depuis 2002, la marche des Visibilités LGBTI de Strasbourg, organisée par le collectif FestiGays, mobilise les associations, citoyen-ne-s et soutiens pour l’égalité des droits et le respect des personnes LGBTIQ+, pour la lutte contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie.

Emil.ia, une œuvre exploitant à merveille les caractéristiques de la bande-dessinée, abordant les sujets de transition et de dysphorie de genre ainsi que la santé mentale.

Le numéro 14 de la revue féministe La Déferlante revient sur les violences médicales et/ou parentales subies par les personnes intersexes.

Premier cabaret travesti de Paris, Madame Arthur est aujourd’hui une référence artistique pour la jeunesse parisienne.

La série Desperate Housewives met en avant la communauté LGBT à travers le personnage de Bree et son fils, ainsi que le sujet de l’adoption pour les couples gay avec Bob et Lee.

L’intersexuation concerne les caractéristiques biologiques et pas l’identité de genre en tant que telle.